« Dans un rapport discuté ce lundi, la juridiction financière passe au crible les risques des actions d’intérêt local, ces aides attribuées de façon discrétionnaire par les conseillers départementaux du Nord. Elle tacle l’absence de stratégie globale et « d’efficience » du dispositif. »
« Les élus écologistes continuent de demander la suppression des AIL et leur remplacement par un budget participatif afin de sélectionner les projets de manière transparente, comme c’est le cas en Seine‐Saint‐Denis. Dans leurs trois cantons d’élection (Lille 3, Lille 4 et Lille 5), ils ont mis en place des jurys citoyens locaux composés de représentants des têtes de réseaux associatifs, des centres sociaux ou des épiceries solidaires, avec des critères d’attribution propres au groupe écologiste. « Mais c’est une solution du moindre mal », souligne Céline Scavennec. »